Dessinée par l’architecte Britannique Laurie Chetwood, cette voile à 5 millions de $ sera prochainement mise en place au Lac Ladoga dans le nord de la Russie afin de récupérer l'énergie éolienne.
Le barrage consiste à tendre un spinnaker de 75 x 25 m semblable à une grande voile de yacht dans un couloir venteux, le vent ainsi accumulé est transféré dans une turbine et permet la production d’électricité. La méthode est annoncée comme plus efficace que tous les systèmes d’éoliennes présentes à ce jour…
Imaginé par le designer Ross Lovegrove, le concept Solar Tree va devenir réalité à partir du 8 octobre prochain, date à laquelle tout un alignement de ces superbes lampadaires solaires aux formes florales éclaireront la Ringstrasse face au Museum for Angewandte Kunst (MAK) de Vienne.
Les procédés nécessaires au moteur à eau sont connus depuis le 19ème siècle. Les brevets de l'époque ont rapidement été rachetés par les compagnies pétrolières américaines qui n'en ont évidemment rien fait. Desmoteurs à eau et variantes (moteurs alcool/eau, moteurs à hydrogène et moteur Pantone) existent en pratique au moins depuis les années 30 où des inventeurs américains épattaient la galerie en faisant le tour de lacs en remplissant le réservoir de leur voiture avec l'eau de celui-ci.
Le moteur à eau permet de réduire la consommation de carburant d'un tiers, diminuer condidérablement la pollution (-85% de particules de fumées) et en plus, gagner en puissance au niveau de la poussée des pistons du moteur.
Le tout avec une une modification du moteur qui se fait dans son garage pour moins de 1.000 euros.Dans un monde normal, l'inventeur du moteur à eau recevrait le prix nobel, les constructeurs engloutiraient des millions d'euros en recherche et développement sur ce procéder pour en équiper toutes les voitures à moindre coût et tout le monde serait très content.
La marie d'Amsterdam, face à une grave pénurie de logements, innove en lançant des résidences pour le moins étonnantes : pour 250 euros par mois (chauffage et internet compris), près de 1.500 étudiants logent dans des containers empilés les uns sur les autres.
Originellement destinées au transport de marchandises, ces boîtes métalliquessont recyclées en appartement de 30 m2 avec une grande baie vitrée et un petit balcon.
Une vraie petite ville s'organise en containers.Un café a même adopté ce design, ainsi qu'un supermarché et un réparateur de vélos. D'autres quartiers s'en équipent, notamment sur le port dégradé d'Amsterdam.
Container surprise : Les Pays-Bas, la Grande Bretagne, les Etats-Unis, le Canada, tout le monde se met au container habitable et au modulaire. Par ces temps incertains, ces logements apparaissent comme des solutions innovantes (?!).
La vente de matériel numérique explose. Les prix sont en chute libre. C'est la course folle aux pixels.Certains grands revendeurs disposent d’une panoplie de tirages en petit format et essaient de démontrer aux acheteurs que le plus médiocre des appareils est à 3 millions de pixels (vraiment pas visible), le moyen, un peu flou aux couleurs délavées, à 5 millions et le bon à 10. Ils se moquent de leurs clients.
Car tout d'abord, la majorité des photographes amateurs n’impriment pas leurs images dans un format supérieur à 13 x 18 cm, quand ils les impriment... La plupart des images ne sont vues que sur un écran d’ordinateur (de télévision), dans le plus favorable des cas (haut de gamme) en 1 280 x 1 024 pixels, ce qui implique une image de 1,3 million de pixels. Il ne faut pas plus de 3 millions de pixels pour la meilleure des impressions en 13 x 18 cm. Car d'autre part,vendre un appareil de 10 millions de pixels pour un amateur occasionnel est un non-sens, tant photographique qu’informatique : le poids d’une image décompressée devient de 30 Mo et les petits processeurs d’ordinateurs rament douloureusement.
Si le nombre des pixels augmente, la qualité des objectifs reste très insuffisante.Une bonne optique est une performance technologique, un compromis entre toutes les "aberrations" (géométriques, chromatiques, etc.) générées par les lentilles. C’est, en grande partie, ce qui fait la qualité d’une image. Si le nombre de pixels est toujours mentionné, les performances de l’objectif jamais. Et pourtant elles se mesurent, au nombre de traits séparés par millimètre d’image. Et on en arrive à l'absurdité que les images possèdent plus de pixels que ne peuvent en distinguer les objectifs. En résumé, si un objectif ne sépare pas les traits d’un texte photographié à 2 m, tous les pixels du monde qui sont derrière ne vous le feront pas lire pour autant.
Aujourd’hui, les programmes demise au point automatiquese multiplient à foison (portrait , plan américain,anti-yeux rouges...) et les photographes y perdent leur latin et leurs nerfs.Il faut avoir assisté à un spectacle "son et lumière" pour constater que la majorité des témoins espèrent éclairer, de nuit, un monument situé à plus 100 mètres à l’aide d’un flash dont on peut estimer la portée à cinq. Mais la portée est rarement mentionnée. Pas commercial, 5 mètres, une misère...
La prise de vue devient d’une richesse informative démesurée sans que l’utilisateur appréhende pour autant les plus values apportées de ces options infinies. Résultat : quand l’image n’est pas bonne (cela arrive souvent) personne ne sait pourquoi ! On cherche, on tâtonne, on tente des folies (position "nuit" le jour), on y perd beaucoup de temps... sans jamais rien y comprendre.
Fabriqués à 80% d’amidon de pomme de terre et à 20% d’huile de soja, ces couverts se bio-dégradent en 6 mois, mais sont aussi costauds et résistants à la chaleur que leurs homologues en plastique, et sont également complètement lavables : vous pourrez donc les utiliser un certain nombre de fois avant d’en faire de la purée … façon de parler.