Après Lyon et Bruxelles, de nouvelles villes adoptent le système ingénieux lyonnais :
-> En selle à Barcelone depuis mars 2007... Dans la série du concours du meilleur nom donné à un système de location de vélos, Barcelone propose "Bicing". Ca fait pas trop espagnol mais bon...
-> A Aix en Provence, le nom choisi est assez proche du nôtre : "V'hello". Ce système de locations de vélos en libre service est composé depuis début juin d'un réseau de 16 stations, dotées de 200 vélos.
-> A Paris, on y voit les premières stations parisiennes et les premiers Vélib' (parc de 20.600) qui rentrent en service le 15/07 :
D'autres villes sont candidates dans les mois à venir :
Séville 2.500 vélos au 10/07/2007
Besançon 200 au 01/09/2007
Marseille 1.000 au 01/09/2007
Mulhouse 200 au 01/10/2007
Dublin 450 au 01/06/2008
Bientôt le tour d'Europ en Vélo'v ?!?
Rien à voir avec la peur. L’autruche plonge sa tête dans un trou de 50 cm de profondeur … pour surveiller et déplacer les œufs, qui y sont cachés. C’est le mâle qui s’occupe de cette tâche la journée, sachant que la femelle prend la relève la nuit pour les couver. La confusion a traversé les temps, puisque déjà le naturaliste romain du 1er siècle Pline l’Ancien se payait la tête du volatile.
Pour dégrader les bactéries et les matières organiques présentes dans l’eau, le traditionnel chlore dégage des gaz toxiques et irritants pour les yeux et les voies respiratoires.
Au contraire, le traitement au PHMB (sans chlore) nettoie l’eau sans dégazage. Il vient d’être agrée pour les piscines publiques. Déjà, 6 piscines collectives et 5% des piscines des particuliers l’utilisent.
Outre ce confort de baignade, ce nouveau traitement fait gagner en dépenses de chauffage (absence de gaz, donc moins d’aération à faire) et en dépenses d’eau (renouvellement moins souvent).
Cerise sur le gâteau, le PHMB pollue moins que le chlore. La ville de Pont-de-Claix récupère même les eaux du bassin pour arroser ses jardins !
Faudrai que je remette à la natation...
Le 20 février 1998, à Nagano, la patineuse Surya Bonaly s’envole dans les airs, tourne sur elle-même et retombe sur ses patins. Pour ses derniers jeux, elle vient de réaliser un saut périlleux arrière avec, en prime, une réception sur une seule jambe. Elle est la seule à effectuer cette pirouette que tout le monde se souvient … mais que le jury n’apprécia pas.
Jusqu’en 1877, on attendait que la balle de tennis rebondisse pour la renvoyer à l’adversaire. Mais cette année là, un joueur, Spencer Gore, s’approcha en courant du filet et intercepta la balle. En face, l’adversaire fut pris de vitesse et perdis le point. Le coups « à la volée » venait d’être créer et lui permis de remporter le tournoi !
Mais l’année d’après, Spencer Gore fut battu. Un autre tennisman, Frank Hadow, répliquait aux volées par des balles très hautes, qui lui passaient au-dessus de la tête. Le « lob » venait d’être inventé.
Dans les années 30, Leonidas Da Silva décolle dans les airs, et, le corps à l’horizontale, lance ses jambes en ciseaux pour reprendre le ballon à la volée. But ! Depuis, nombreux footballeurs marquent en exécutant ce tir de voltigeur : la bicyclette brésilienne.
En 1968, Dick Fosbury, révolutionne le saut en hauteur en courant, se tournant, et jettant ses épaules au dessus de l’obstacle. Ses concurrents se contentent de franchir la barre sur le ventre … et sautent moins haut.
Au début des années 70, Jarno Saarinen résout le problème de tout motard : comment se pencher dans un virage sans trop se pencher ?
Il pose le genou : il sait qu’à l’instant où la rotule touche le bitume, il ne faut pas se pencher plus.
Les réponses est dans le nom des images (bouton droit)...
D’ici à 8 ans, l’Europe éradiquera les ampoules à incandescence des étalages. Pour mémoire, l’ampoule à filament de tungstène incandescent n’a pas évolué depuis 115 ans. Elle utilise seulement 5% de l’énergie qu’elle consomme pour produire de la lumière, les 95% restant étant perdus en chaleur. Les nouvelles ampoules économes en énergie consomment jusqu’à 75% d’électricité en moins.
Cette mesure simple devrait permettre de réduire de 60% les émissions de CO2 générées par l’éclairage domestique et d’économiser 7 milliards d’euros par an. L’Australie et la Californie l’avait déjà adoptée en décidant d’abandonner le modèle de Thomas Edison, respectivement pour 2015 et 2012.